Hélène Bruntz

Hélène Bruntz

Les hommes s’en vont

Hélène Bruntz

Texte édité par Jean Michel Ollé

[Lire un extrait]

Qu’ils partent pour une autre ou parce qu’ils n’en peuvent plus, les hommes s’en vont. C’est du moins ce que constate Élise et ce qui l’intrigue, aussi, à contempler autour d’elle, dans les cafés qu’elle fréquente, la douleur de femmes abandonnées.

Pour qui, pour quoi, se demandent ces femmes. Pour Élise, c’est trop tard : ses questions à son mari mort depuis longtemps – du moins l’imagine-t-on – ne recevront pas de réponse.

Elle le sait, mais elle en souffre. Alors, à regarder ces femmes, elle se dit qu’écrire, c’est peut-être le seul moyen de faire surgir sous la plume ce que la vie nous tait.

De café en café, on croise des couples qui chancellent ou se défont. C’est en inscrivant sa propre histoire dans la ronde de ces catastrophes intimes qu’Élise trouvera la force d’accepter qu’elle ne saura jamais si son mari l’a vraiment aimée. Dans ce cinquième roman, Hélène Bruntz, avec la délicatesse qu’on lui connaît, nous emmène au plus intime de l’envie d’écrire, là où les mots surgissent pour calmer nos peines.

212 pages

Papier : 20,90 € Ebook 9.90 €

Disponible chez votre libraire, ou sur les librairies en ligne

L’enfant du cinquante-sept

Hélène Bruntz

Texte édité par Jean Michel Ollé

[Lire un extrait]

De son enfance, Hélène Bruntz ne gardait que des souvenirs de ses disparus et des albums photos dans des tiroirs fermés. L’immeuble où elle avait grandi avait été rasé depuis longtemps, il n’en subsistait qu’une adresse, le cinquante-sept de la rue de Flandre, qui abritait désormais un jardin partagé entre des tours d’immeubles.

C’était méconnaître son imagination. Voici que sous sa plume, les photos ont pris vie et sens ; la petite fille qui n’était pas dans l’album des parents jeunes mariés a surgi sous les traits d’une gamine juive habitant l’immeuble sous l’Occupation et qui s’en échappera, un album sous le bras, après l’arrestation de ses parents.

Plus qu’un roman, ce livre est une leçon. Comment faire revivre ici-bas ceux qui sont partis ? Par la littérature, pardi.

Ce quatrième roman d’Hélène Bruntz rend hommage à son père,  pièce manquante du puzzle décrit dans Trouver l’aiguille.

Papier : 19,90 € 

Disponible chez votre libraire, ou sur les librairies en ligne

Une fleur rouge contre un mur blanc

Hélène Bruntz

Texte édité par Jean Roccia

[Lire un extrait]

Comme souvent, ce livre est un voyage. Dans le temps d’abord : grâce à une savante construction, on voyage d’aujourd’hui à hier, de  remords en souvenirs, et on regarde Antoine et Djamila se rencontrer, s’oublier, se rechercher. Dans l’espace aussi : entre beaux quartiers de Paris et village perdu aux portes du grand sud marocain. Après la rencontre, solaire, des deux jeunes gens, on fera souvent le trajet entre ces deux lieux, en touriste ou en immigrant.

Tout ça pour quoi ? Pour qui, en fait : « Un enfant aux cheveux blonds, debout devant un mur blanc inondé de soleil. Le cliché pouvait avoir été pris aussi bien en France. L’enfant souriait, vêtu d’une chemisette bleue. Et il lui ressemblait étonnamment. »

C’est lui qui met tout le monde sur la route, celle qui mène au bonheur… si on a le courage de la suivre.

Une fleur rouge contre un mur blanc est le troisième roman que publie Hélène Bruntz, après Trouver l’aiguille et Le prince des girafes

Papier : 19.90 € Numérique : 9,99 €

Disponible chez votre libraire, ou sur Amazon ou à la Fnac  

Le Prince des girafes

Hélène Bruntz

Texte édité par Jean Roccia

[Lire un extrait]

Les écrivains sont des voleurs, c’est un mal nécessaire. Mais qui se soucie de leurs victimes ? Thomas a pris la vie de Clémence pour en faire un roman, puis s’est enfui, son forfait accompli. Il laisse son fils David seul avec des absents : un père mort, des livres qu’il ne peut pas lire, une mère qui n’est plus là.
Heureusement, la littérature ne fait pas que blesser, elle soigne aussi : Baudelaire est toujours là pour nous dire que même si nos ailes de géant nous empêchent de marcher, il nous faut toutefois avancer, et c’est ce que fait David, retrouvant sur sa route sa mère, pauvre oiseau blessé.
Après Trouver l’aiguille, Hélène Bruntz retricote ici une famille déchirée, allant puiser au fond de chaque personnage maltraité par la vie ce qu’il faut de courage pour y croire encore.
Le bonheur n’est-il pas la forme ultime de l’obstination ?

Hélène Bruntz écrit depuis toujours. Le Prince des girafes est le deuxième roman qu’elle publie.

 

Papier : 19.90 € Numérique : 9,99 €

Disponible chez votre libraire, ou sur Amazon ou à la Fnac

Trouver l’aiguille

Hélène Bruntz

Texte édité par Yveline Lévy-Piarroux

[Lire un chapitre]

Peu d’hommes près de ces femmes… Ils font la guerre, ou ils sont malades, ou ils abandonnent leurs enfants. Des filles. Des filles sans père, mais avec des grands-mères, des belles-mères, des mères… et des filles elles aussi. Qui est qui dans les petits arrangements du quotidien ? Qui élève, qui aime, qui nourrit ?

Nulle n’est à l’exacte place que l’état-civil lui a assignée. Certaines histoires sont plus floues que d’autres : c’est la vraie vie, où les décisions personnelles s’entremêlent à la grande histoire, aux héritages sociaux.

Comment rendre, alors, la dureté des jours, les joies parfois du voyage, les travaux pénibles, l’amour aussi, et les rancoeurs, les incompréhensions de cet univers féminin malgré lui ?

Il faut patiemment découdre ces vies de femmes, sur cinq générations, pour découvrir les secrets qui les ont façonnées. Elles n’ont pas pris le temps d’y penser, sauf Violette, qui essaie de démêler les fils. Encore faut-il trouver l’aiguille.

 

Hélène Bruntz écrit depuis toujours. Trouver l’aiguille est le premier roman qu’elle publie.

Papier : 19.20 € Numérique : 9,99 €

Chez votre libraire, ou sur le site de la Fnac, ou d’Amazon